Mon chemin

Mes valeurs, ma boussole
Je suis faite de feu et de sève.
Femme multiple, mère en mue, louve intuitive et protectrice.
Je marche aux côtés d’Artémis, farouche et libre, mais aussi d’Athéna, d’Héra, d’Hécate — de toutes ces déesses qui brûlent d’ombre et de lumière.
Laetitia basinski
En (re)naissance.
Ce en quoi je crois — sans compromis :
Les enfants d’abord.
Pas comme un slogan. Comme une urgence. Les écouter pour de vrai, les regarder pour ce qu’ils sont, pas pour ce qu’on voudrait qu’ils soient.
Et pour ça, il faut d’abord se pencher sur son propre enfant intérieur, celui qui crie encore au creux du ventre.
Changer en soi ce qu’on rêve de transformer chez son enfant.
Les enfants d’abord.
Les femmes qui se relèvent.
Qui arrêtent de s’excuser d’être trop — trop fortes, trop sensibles, trop pleines.
Je crois que la guérison du monde commence quand une femme dit : "je reprends les clés."
Et qu’elle ose être elle-même, sans filtre, sans masque.
Les femmes qui se relèvent.
Les animaux, nos frères.
Leur regard, leur langage sans mots, leur présence sans condition : ils nous ramènent à l’essentiel. Je choisis la douceur, la compassion radicale, le respect du vivant sous toutes ses formes.
Les animaux, nos frères.
L’hypersensibilité comme boussole.
Cette capacité à tout ressentir — le chaos et la beauté — est un don mal compris. Moi, j’ai choisi d’en faire une arme douce.
L’hypersensibilité comme boussole.
La liberté comme appel.
Celle qui casse les chaînes invisibles. Celle qui fait danser, qui fait dire non, qui fait dire oui à ce qui vibre juste.
Celle qui autorise les femmes à être entières, à leur rythme.
La liberté comme appel.

Pour élever un enfant, il faut une tribu. Pour élever une femme, il faut du courage.
Je crois que l’on ne changera pas le monde en éduquant seulement les enfants —
Il faut d’abord éduquer les mères à s’aimer et les hommes à les porter pour qu’elles puissent à leur tour porter les enfants.
Les femmes doivent s’écouter, se guérir.
Car un enfant n’a pas besoin d’une mère parfaite, il a besoin d’une mère vraie.
Ce blog est mon terrain sacré.
Un lieu de mues, de silences bruyants, de sororité indomptable.
On y vient blessée, on y repart debout.
Le blog
Ce blog, c’est un lieu d’empuissancement féminin.
Pas une idéologie, pas une injonction de plus.
Juste un terrain fertile pour les femmes qui veulent vivre selon leur rythme, leur cœur, leur intuition sauvage.
Pour celles qui veulent apprendre à s’aimer, à s’affirmer, à transmettre autrement.
C’est une terre de sororité, où l’on se tient la main dans la tempête.
Un lieu où chaque femme est invitée à poser ses mots, ses maux, et à renaître un peu.